Tous nos paysages et notre patrimoine vont être écrasés et défigurés, en contradiction flagrante avec le développement du "tourisme vert" promu par les élus régionaux et départementaux.
Le patrimoine immobilier va s'en trouver gravement dévalué et la prolifération des éoliennes va décourager l'installation de néo-ruraux comme la création de gîtes de tourisme.

Tous nos paysages et notre patrimoine vont être écrasés et défigurés, en contradiction flagrante avec le développement du "tourisme vert" promu par les élus régionaux et départementaux.
Le patrimoine immobilier va s'en trouver gravement dévalué et la prolifération des éoliennes va décourager l'installation de néo-ruraux comme la création de gîtes de tourisme.

La proximité des éoliennes avec l'habitat ayant été ramenée à 500 mètres en France (moins que la moyenne européenne), des nuisances pour la santé tant sonores (infrasons) que visuelles (lumières clignotantes amplifiées par le brouillard) sont à craindre, sans parler de l'altération du cadre de vie qui impacte tout un chacun, fût-ce inconsciemment.

Alors que le nombre d'oiseaux en France connaît une baisse considérable, l'effet nocif des éoliennes sur cette population est de notoriété publique : sont concernés notamment les oiseaux migrateurs, dont plusieurs espèces protégées, les oiseaux endémiques et également les chauve-souris.

Les promoteurs agissent dans la plus grande opacité, tout en faisant miroiter des redevances alléchantes aux propriétaires fonciers et aux municipalités démunies.
Ce n'est qu'au stade ultime du dossier qu'une certaine publicité est consentie à ces projets, juste avant l'enquête publique qui seule, peut permettre aux populations concernées d'exprimer un avis.

Pourtant cette nouvelle industrie des renouvelables, adossée à un puissant lobby et répondant à un plan étatique de "transition énergétique", n'apporte rien de significatif : pas d'emploi industriel (tout ou presque est importé), pas de diminution du CO2 (le nucléaire et l'hydraulique sont déjà décarbonés), et une très faible productivité (de l'ordre de 20%) pour la bonne raison que le vent est une énergie == intermittente et aléatoire==. En revanche, cette électricité subventionnée pèse lourdement sur les finances de l'Etat (environ 20 milliards par an pour atteindre les objectifs de 2025) qui répercute l'effort sur le consommateur (taxe CSPE).

Amis creusois, je vous invite à dénoncer une politique de transition énergétique basée sur une filière éolienne coûteuse, inefficace et destructrice de l'environnement qu'elle est censée préserver.

Dans l'immédiat, faites connaître votre opposition au projet d'installation d'un parc éolien sur le Mont de Transet en signant notre pétition en ligne et en adhérant à notre association "Mont de Transet Vent Debout"!